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CLIP VIDEO (MAQUETTE) DE LA CHANSON DU VDO LA PENSEE


                La maquette du clip vidéo de LA PENSEE, chanson qui ouvre la partie chantée de la (tragi) comédie musicale LE VOYAGEUR DE L'ORAGE, oeuvre composée par JEAN-CLAUDE PANTEL, est disponible en cliquant sur la fenêtre You Tube suivante :

 

 


 

                NOTA BENE : Il faut savoir que ce clip vidéo réalisé et monté par Yvon Raphène n'est qu'une maquette. De même pour le chant qui n'est qu'une ébauche enregistrée en studio à Marseille, et qui nécessitera par conséquent une nouvelle séance d'enregistrement. En effet, l'écoute fera remarquer aux auditeurs quelques couacs, comme une liaison qui est escamotée, une note qui n'est point tenue, ainsi qu'un mot dont la phonétique n'est pas vraiment respectée.

 

                 Mais chacun saura apprécier l'immense qualité de l'Opus.


 

            Pour aider à mieux comprendre l'Histoire, il faut en outre apprendre à visualiser l'ÉMANON (La petite loupiotte se mouvant tout le long du VDO) comme étant LA PENSÉE ("L'Énergie Créatrice" ou "Intelligence Divine"), laquelle n'apparaît sous une forme visible, durant tout le déroulement du scénario, que seulement par intermittence, tandis qu'en réalité Elle en est la véritable héroïne, bien avant Le Voyageur lui-même, ainsi que Sophana.

 

            On notera aussi la présence dans le clip, sorte de clin d'oeil, du chien Pollux (dit "Popo").

 

 

 

Paroles de la chanson LA PENSEE :

 

 

 

LA PENSEE




D'un Infini
Dont elle eut à se dissocier,
Mais non se « déconstituer » :
Principe de la Continuité...
Sous la praxie
De quelque forme à conférer,
Elle se mit à « faire exister »
Tout ce qu'en rien n'apparaissait.

A chaque état,
Fruit d'une localisation,
Elle inspira une fonction
Axée sur un mode d'action...
Et s'édifia
Une logique d'information,
Une intercommunication
Qui relia tout en son nom...

La dénommer incombe à cette intelligence,
Dont elle nous dote à la naissance,
Qu'on enferme par trop après...
La dénommer, par-delà « le verbe » qui danse
Sur le parvis de nos consciences,
C'est seulement l'interpréter...

Elle qui sait
Légitimer la conjoncture,
Tous les échanges de la nature,
Ce qui inquiète, ce qui rassure...
Elle qui sait,
De raisonnement(s) en résonance(s),
Harmoniser l'ambivalence
De nos sporadiques présences...

La dénommer incombe à cette intelligence,
Dont elle nous dote à la naissance,
Qu'on enferme par trop après...
La dénommer, par-delà « le verbe » qui danse
Sur le parvis de nos consciences,
C'est seulement l'interpréter...

(terminer par la reprise du premier couplet, puis l'orchestre reprend le refrain ad lib)

 

 

Paroles et Musique : JEAN-CLAUDE PANTEL

Arrangements son : JEAN-LUC SPAGNOLO.

Partition : GILBERT PAGANO.

Piano : GUY MATTEONI.

 

 

 


 

 

                  CLIP VIDEO "LE VOYAGEUR DE L'ORAGE" : L'ECLIPSE (J.-C.P.)

 

                                Pour visionner la maquette du clip "L'Eclipse" ("VOYAGEUR DE L'ORAGE", Auteur Jean-Claude Pantel, Arrangements Jean-Luc Spagnolo, Réalisation et Montage Yvon Raphène), cliquez sur la fenêtre You Tube ci-jointe :


 


 
                       
                     You Tube écrasant leurs fichiers vidéo au maximum, veuillez pardonner le floutage quelque peu gênant de l'image, renforcé notamment du fait que le clip est filmé à partir de ma caméra numérique directement sur mon écran d'ordinateur (Problème de conversion format au départ).

 

Pour compulser l'article entier rédigé sur le clip vidéo : http://jantel-esperluette.over-blog.com/article-la-ronde-des-paumes-56477915.html

 

 

 


 

 

                     Maquette du clip vidéo "CASPAR DAVID FRIEDRICH" (VDO)

          

 

                Pour visionner le clip vidéo (maquette seulement) de la chanson écrite par Jean-Claude Pantel intitulée "CASPAR DAVID FRIEDRICH", laquelle fait partie intégrante de la comédie musicale "LE VOYAGEUR DE L'ORAGE" (J.-C.P.), veuillez cliquer la fenêtre suivante :

 

 

 


 

 


 

                 Maquette du clip vidéo de la chanson "NOE" (J-C.P.) Voyageur de l'Orage

 

                                        Pour découvrir la maquette du clip vidéo de la chanson "Noé" (Voyageur de l'Orage), cliquez sur cette fenêtre You Tube :

 

 

 


 

  Ps : Si vous me permettez cette appréciation de la chose, je dirai que le texte de "Noé" recèle un vrai génie sur la plan littéraire.

 

 

 

Paroles de la chanson NOÉ :

 

 

                               NOÉ 

 

 

Ils n'estivaient ni n'hibernaient ce jour-là, ça je vous l'assure,

En leur habit de plume, de peau et d'écaille, l'air grave et sérieux

Et comme le ressac ne couvrait pas de sa voix leur murmure,

La curiosité me conduisit alors à m'approcher d'eux.

 

Sans vouloir l'affirmer, je crois que depuis Jean de Lafontaine

Et cette épidémie de peste qu'il sut si bien nous narrer,

Jamais ô grand jamais : aigle, papillon, renard et baleine

Ne s'étaient retrouvés en le corps d'une pareille assemblée.

        

                        Et montait de la plage,

                        Direction : les nuages,

                        De temps à autre une clameur !

                        Une ovation, peut-être,

                        Agréant quelque fête,

                        En cris de toutes les couleurs...

                        Sur une sorte de promontoire était juché

                        Celui que l'on se plaît à reconnaître comme souverain :

                        Le lion, pourquoi donc ne pas le nommer,

                        Demeurait impassible et écoutait tout un chacun...

 

Fut-ce le vent du large, qui en ses embruns, trahit ma présence,

Colportant mon odeur au flair exercé de quelque mâtin

Ou bien l'oeil "aiguisé" d'un oiseau de proie... mais un grand silence

S'abattit pesamment, tandis que le ciel s'obscurcit soudain.

 

En moins de temps qu'il faut à ces quelques mots pour vous le décrire,

Je fus vite entouré de mille regards lourds de suspicion,

Tant et si bien d'ailleurs, qu'en l'instant je vis mon procès s'ouvrir,

Sans que j'ai eu loisir de pouvoir poser la moindre question.

 

                        Au nom de la Campagne !

                        Au nom de la Montagne !

                        Aux noms des Déserts et des Mers !

                        Des Forêts et des Etres

                        Que l'Homme fait disparaître,

                        Rendons justice à notre Terre !

                        En choeur, fut traduit en cet acte d'accusation        

                        Ce que souvent à mes semblables, en chansons j'avais reproché,

                        Il fallait assumer la situation,

                        Quand le calme revint, j'y allai de mon envolée :

 

Faire endosser les maux que vous subissez à un seul "coupable",

De surcroît innocent, quand bien même nul n'est jamais tout blanc,

Reviendrait à réitérer le célèbre "haro" de la Fable

Et ne garantirait en rien l'Avenir si préoccupant...

 

C'est au "pluriel" que l'Homme est dangereux pour tout ce qui l'entoure,

Qu'il se retrouve seul, il se fait "tendresse" et parle d'aimer,

Sans prêcher pour moi-même, remontons l'Histoire, le temps à rebours :

La pollution, la chasse, ne sauraient vous faire oublier Noé !

 

                        Noé, le Patriarche !

                        Noé, dessus son Arche !

                        Noé, sans qui seriez-vous là ?

                        En cette controverse :

                        La Raison tergiverse,

                        Demain, c'est encore Autrefois !..

                        Et c'est bien ainsi que quelques millénaires après

                        Avoir soustrait au Déluge tant d'Espèces sur son "radeau",

                        Noé, sans le savoir, venait de sauver

                        Des "flots d'un cauchemar", celui qui clame à chaque écho :

                        Quand grondera le Monde,

                        Que bouillonnera l'Onde,

                        Noé, reviendras-tu un jour ?

                        Comme là dans mon rêve,

                        Pour que vive sans trêve,

                        Partout, le règne de l'Amour... 

 

                        (reprise des choeurs ad libitum)

 

                        Noé, le Patriarche !

                        Noé, dessus ton Arche !

                        Noé, reviendras-tu ce jour ?..

                        Où grondera le Monde,

                        Où bouillonnera l'Onde,

                        Pour que se perpétue l'Amour...

                       

                        ...............................

                        ...............................

                        ...............................

 

 

Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL

 

 

 

 


 

 

 

 

 

       Maquette du clip vidéo "L'HYMNE A LA TERRE" (VDO)

 

 


 

 

Paroles de la chanson :

 

 

 

L'HYMNE   A   LA  TERRE

 


 

 

Lorsque se fut tu le Silence

Au bâillon de ce bruit,

Big-bang révélant ta présence :

A ce que l'on nous dit...

A qui échut la préséance

De percevoir l'Esprit

Lequel anime cette conscience

Qui est nôtre aujourd'hui ?

 

Les gerçures des millénaires,

Rides de l'Erosion,

Relatent différentes Eres,

De mues, d'évolution...

Mais qui sut bien l'itinéraire

De la "grande fusion"

Qui fit voyager la Matière

Entre état et fonction...

 

Refrain :            L'abîme des cieux est l'écrin

Des étoiles de mille Mondes

Où l'indicible, en le Divin,

Sut te faire entrer dans la "ronde",

Miracle garde son Mystère

Se projetant à l'Infini,

Tu es notre Planète Terre

Et nous des formes de ta Vie !..

 

Toutes ces contrées sans frontière,

Continents sans Nation,

Eurent pour unique bannière

L'étendard des saisons...

L'anthropomorphisme, sans doute,

Dans un état latent,

Attendait que "l'ambiant" le boute

Entre Eve et Adam...

 

Dès lors apparurent les sites

Qui abritent l'Histoire

Dont les vestiges n'ont de mérite

Que d'être une "mémoire" :

Lieux de batailles, lieux de cultes

Sont la géographie

Où l'Espoir et la peur s'insultent,

Se partageant nos cris !

 

Refrain :            L'abîme des cieux est l'écrin

Des étoiles de mille Mondes

Où l'indicible, en le Divin,

Sut te faire entrer dans la "ronde",

Miracle garde son Mystère

Se projetant à l'Infini,

Tu es notre Planète Terre

Et nous des formes de ta Vie !..

 

La géométrie provisoire,

En "l'acte" et en "l'idée",

Reste support et trajectoire

De notre destinée,

De l'Atlantide aux Sept Merveilles,

Inventions, Prophéties

S'éloignent un jour du soleil,

Satellisant l'oubli...

 

Les choses évoluant bien vite

Pour mieux se répéter,

Sans bien préjuger de la suite,

On peut imaginer

Que s'achèvera ton Voyage

Dans cet Espace/Temps :

Naître et mourir sont l'apanage

Du recommencement !..

 

(terminer par Refrain avec chœurs)

 

 

Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL


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  • : LE VOYAGEUR DE L'ORAGE
  • : Présentation et "promotion" (gratuite, sans profit aucun et totalement désespérée), auprès du plus large public possible, de la (tragi-) comédie musicale créée par Jean-Claude Pantel : LE VOYAGEUR DE L'ORAGE.
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