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Cette version maquette de la chanson écrite et chantée par Jean-Claude Pantel "RENCONTRE" (VDO) mérite d'être écoutée ne serait-ce que pour le simple agréement auditif que nous offre la voix si apaisante de Jean-Claude Pantel.
RENCONTRE
D'usage est d'accepter : "la fonction crée l'organe",
La maxime, en sa phrase, fige par trop ses dires,
Sa vérité défaille, sépulcre qu'on profane,
Lorsque c'est à l'envers qu'il convient de la lire.
Le mirage, au soleil, se doit d'être en ce Monde,
Nous vivions en été, mais ce fut sous la lune
Que je vis apparaître, entre le ciel et l'onde,
Un cylindre à hélices qui s'approchait des dunes.
Dyonisos ne m'ayant convié à sa table,
Il fallut convenir que s'offrait à mes yeux
Un objet volant, certes, mais fort identifiable
Puisque c'est un moulin qui m'arrivait des cieux.
Chuchotant quelques mots à l'oreille d'Eole,
Il interrompit là le ballet de ses ailes,
Sur une aire choisie, des lampyres, des lucioles
Lui balisaient la plage, myriades d'étincelles.
Voulant me rassurer, il rompit le silence,
Aux rides de sa voix s'égrenaient des années
Faites de souvenirs, d'amitiés en partance
Entre "Triste Figure" et "Cornille" le Meunier...
Sa notion du "logique" meut le credo de l'Homme,
Dit-il, et son "savoir" vogue en marge du "vrai",
Il oublie, de ce fait, que la pierre dont nous sommes,
Par Deucalion semée, sut le réinventer...
S'épanche l'Existence au coeur de la "matière",
Quiconque force la Chose ou en fait son dessein,
Quand Atlas vacille et que tremble la Terre,
Croule avec tout le reste, mimétisme divin...
Mais ne va donc pas croire, entre ces paraboles,
Que je suis venu là te donner la leçon,
Garde de moi l'image d'un "moulin à paroles"
Qui vint broyer du noir, le temps d'une chanson !
Longtemps après qu'il se fût fondu dans l'Espace,
Je demeurai pansant la plaie de mon émoi :
La certitude d'être, offerte au temps qui passe,
N'asservit donc le doute qu'en devenant sa proie...
Se partageant l'histoire, mes rimes, ma musique
Conclurent qu'au bout du "chant", ici-bas, "tout" subit :
Fruits de chair ou de pierre, inhérent au "cyclique",
Le "pourquoi" reste obscur quant au but de la Vie.
Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL
La chanson (Poème) LA PEUR DE VIVRE (Saison 1 du Voyageur de l'Orage) étant lue par les éléves de l'Institut de Concordance, cette interprétation à une voix n'a pas été retenue pour figurer parmi les versions définitives des chansons du conte musical.
Mais qu'importe ! Contentons-nous aujourd'hui d'écouter celui qui incarne en personne Le Voyageur de l'Orage nous l'interpréter :
Je ne sais pas si cette interprétation très rock (Limite Nougayork) de Desmodromie (Saison 1 du Voyageur de l'Orage) sera retenue pour figurer parmi les versions définitives des chansons du conte musical.
Paroles de la chanson :
DESMODROMIE
S’érigent devant toi les parois de la raison,
L’âge aidant tu es à même de naître à la question,
Elle t’épiait déjà avant que tu n’aies un nom :
- Dis qu’attends-tu de toi ?
- Ta vie coule pourquoi ?
Le vent sut bien guider tes pas jusqu’à ce jour où,
N’étant plus sûr de rien, tu mets le doute à ton cou,
Gibet de la conscience, n’épargnes-tu que les fous ?
Le chemin parcouru semblait mener à un but mais lequel,
À chaque étape semble défaillir et puis se renouvelle…
S’égrènent les saisons, se gaspille l’espoir,
Le "devenir" de "l’être" s’étiole sans pourvoir
À ce que l’on disait
Être "la vérité"…
Asservis que nous sommes par l’insatiabilité,
Notre existence immolée à la gloire du progrès
Bâtit "l’histoire" au fil des siècles sans varier,
Depuis "l’Age des âges",
Où va donc le voyage ?
Les actes et les gestes répondent sans se lasser
Au signal de la montre, mythe du calendrier,
Là, naissent les coutumes qui motivent les projets…
Je ne suis pas le seul, sache qu’il en est d’autres à mes côtés,
Qui, las d’agitation, refusent dès lors de "don-quichotter"…
Il n’y aura demain, du train où vont les choses,
Plus assez de moulins et s’éteindra "la cause"…
Peut-être sera-ce l’ère
De la dernière guerre…
Si d’être différent de ce que tu fus te sied,
Alors apprends à désapprendre ce que tu sais,
Laisse libre cours à ta "disponibilité"…
Et n’attends rien de rien,
Tout surgira à point…
Les nuages étiquettent l’azur quand bon leur semble,
Y verrons-nous bientôt, avant que terre ne tremble,
Ecrit pourquoi Dieu n’a pas voulu qu’on lui ressemble…
Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL
"ULTIME CARNAVAL" est une chanson faisant partie de SOFANA, comédie musicale qui fera peut-être suite au VOYAGEUR DE L'ORAGE.
Pour l'écouter :
Paroles de la chanson :
ULTIME CARNAVAL
Déja le jour s’éteint et la ville est en liesse
Cà et là des embruns s’en viennent et caressent
La corniche qui va là sous les gratte-ciel,
Tandis que sur les flots les étoiles au soleil
Succèdent peu à peu, personnifiant le temps
Qui fait mourir ses jours pour faire naître les ans...
Pour l’accueillir ils ont dans les rues fait cortège,
Et me voilà porté comme un bouchon de liège
Par le courant sans fin d’une foule qui danse,
Au rythme des sambas le Carnaval avance,
Au coeur de cette nuit habitée de tambours,
Partout des serpentins enlacés font l’amour...
D’où viens-tu, pauvre noir que la musique entraîne ?
Viens-tu des favellas, de ces pauvres ruelles ?
Ou bien as-tu marché depuis de nombreux jours,
Quittant ces plantations qui poussent alentour...
T’en viens-tu oublier ces heures que tu y passes,
Qui permettent à ton coeur d’animer ta carcasse ?
Rio, ce soir, pour toi a mis son corps en joie,
Elle veut que tu oublies que tu as faim parfois... (bis)
Et la ronde infernale, à une allure folle,
Sans trêve, sans repos, continue, caracole,
C’est la ville tout entière qui semble se mouvoir,
Et moi dans mon esprit, j’hésite, j’ai peine à croire
Qu’un jour va se lever tant la nuit est immense,
Que l’aurore va surprendre la cité dans son anse,
Mais pourtant le matin dans une aube rougeâtre,
Doucement, par à-coups, comme le feu dans l’âtre,
Vient couler sur les murs en profilant au loin
L’ombre du Pain de Sucre qui émerge divin,
Le Carnaval est mort, on chante ses louanges,
Le pauvre noir aussi... mais qui cela dérange ?
Tu es venu, qui sait d’où, pour mourir ici...
Qu’importe, pour les hommes, tu demeures dans l’oubli,
Le silence se tait et sur ton corps sans vie
Il n’y a que le vent qui s’arrête et qui prie...
Je m’en vais à présent poursuivre mon chemin,
Ce que je viens de voir, vraiment, ne m’apprend rien :
L’indifférence est reine ici-bas et je crains
Qu’il faille plus qu’un chant pour que change demain...
Il faudra plus qu’un chant pour que change demain (ad lib)
Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL
Note du Blogueur : Putain c'est un chef d'oeuvre !!!!!!!
"Aveux" est une chanson faisant partie de SOFANA, comédie musicale qui fera peut-être suite au VOYAGEUR DE L'ORAGE.
Je tiens à remercier Jean-Luc Spagnolo de m'avoir généreusement prêté les cassettes DAT des chansons de Jean-Claude Pantel, ainsi que mon ami Mikaël qui, en plus d'être un excellent chanteur, est un véritable dieu grec de l'informatique.
Je suis persuadé que notre ami Rock en Bol aurait aimé entendre cette chanson. Où elles reposent désormais, qui sait si les Cellules en Suspens de Rock en Bol ne sont pas en train d'entrer en résonnance avec les harmonieuses vibrations "d'Aveux" ?
Je fais le pari que oui. Demeure là-haut, ami !
N'ayant pas connu sa mère biologique, cette chanson fut écrite par Jean-Claude Pantel à la demande de Jean-Claude Dakis qui aimait éperdument sa mère.
D'ailleurs, l'expression "les amants de la foi", qu'on retrouve dans un des vers de la chanson, se réfère directement à l'amitié ayant lié Jankis et Jantel
durant plus de vingt-cinq ans (pour ceux et celles qui connaissent un peu mieux l'histoire que les autres...).
Dessin de la vidéo : "AVEUX" par Paul Quiliquini.
Paroles de la chanson :
AVEUX
Le passé qui revient, pour habiter ma vie,
Hante de souvenirs chaque heure d'aujourd'hui
Et si l'âge qui va a perdu en chemin
Du bonheur d'autrefois, la saveur, le parfum,
En un souffle qui passe,
J'en retrouve la trace...
Et je cours,
Et j'accours
"Te" chanter comme on chante sa première chanson,
Mon Amour,
Fil des jours
Qui sont tiens, qui sont miens, qui sont notre raison,
Raison d'être,
D'apparaître
A nos yeux de nouveau comme l'on s'est connus,
Le temps en ses complots quelquefois s'ingénue
A suspendre son vol,
Ô poète exaucé !..
Et confond dans ce rôle
Etre et avoir été...
Donnant à tes matins la couleur de mes joies,
Prêtant à mes chagrins tes larmes quelquefois,
Lorsqu'on te dit tendresse, tu épèles mon nom,
C'est bien quand on te blesse que s'épine mon front,
Ce pour que s'accomplisse
Le destin des complices...
Que nous sommes,
Bien en somme,
Depuis maintenant je ne sais plus bien combien
De refrains,
De quatrains,
S'étiolant, s'étoilant selon les lendemains
Capricieux,
Pernicieux,
Qui immiscent le doute pour mieux me faire croire
Que seule cette route peut conduire à l'espoir
De confondre deux voies
Jusqu'en un "au-delà"
Qui ne s'offre ici-bas
Qu'aux Amants de la Foi...
Et combien, par hasard, ont cru et croient encore
Déchirer les amarres m'arrimant à ton Port :
Quand tempêtent nos voix, que s'assombrit le ciel,
Quand le nid est au froid, que le verbe est au fiel,
Quand le chant du silence
Confine à l'indécence...
Si j'accepte
Tes préceptes,
Quand ta moralité mutile mes excès,
Dans l'attente
Que s'intente,
En ton nom, à mes actes un peu fous, un procès...
Si au seuil
De l'orgueil
Je demeure figé, piteusement muet,
Si mon regard rejoint le bout de mes souliers,
C'est vraisemblablement,
C'est essentiellement
Parce que tu es la seule
Que j'appelle... Maman !..
Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL
Plusieurs projets liés au livret du VOYAGEUR DE L’ORAGE sont d’ores-et-déjà envisagés.
Mais un d’entre tous me semble prioritaire : Le faire publier.
Une fois la maquette du long métrage achevée (Durée : 4 heures), le format du roman-photo apparaît à mes yeux comme la meilleure des illustrations pour le
livret.
Les images du film, sous forme de photographies accompagnées de leurs phylactères (Bulles), pourraient très bien ainsi servir de support littéraire au
VOYAGEUR DE L’ORAGE.
En cas de viabilité du dessein entrepris, les contributions déjà récoltées par L’Association Cyclamen serviraient à acheter le logiciel de type «
Comic Life » permettant de fabriquer sur son pc des romans-feuilletons.
Sinon, l’internaute prénommé Charly a relancé l’idée auparavant entrevue (mais hélas abandonnée) d’une bande-dessinée.
S’il y a des dessinateurs parmi vous intéressés par ce projet, qu’il me le fasse savoir à la rubrique contact.
En tout cas, faites-moi part de vos suggestions, elles seront toutes les bienvenues.
Merci et à bientôt.
Esperluette.
Pour écouter la chanson écrite par Jean-Claude Pantel "ENTRE EXISTENCE ET VIE (2)" extraite de la seconde saison du Voyageur de l'Orage (En attente de la maquette du clip vidéo bientôt en ligne) :
PAROLES DE LA CHANSON :
ENTRE EXISTENCE ET VIE (2)
Mi-cri, mi-mélodie :
Source de ses écrits,
Support de ses pensées
Par le temps révélées,
Nous laisseront traduit,
Ce qui l'aura conduit
A nous léguer ainsi
Entre Existence et Vie...
Dans un Monde cyclothymique,
De rationnel en mystique,
Une partie de lui,
De Demain d'Aujourd’hui...
En quelques chansons obscures,
Qui mirent à la torture
Au gré du "cogito",
Sa raison, son credo...
Par ses rêves épars
Et ses notions bizarres,
Il nous fit don, sans plus,
D’un savoir inconnu,
Pour que l’on se rejoigne,
En nos corps, en nos âmes,
Ailleurs ou bien ici,
Entre Existence et Vie...
S'embrasera l'Avenir
Du feu de nos "souvenirs",
Pour rallumer l'Espoir
Du fait de nous revoir...
Nous qui ne nous savons pas,
Au fil de tous nos trépas,
Sans visage, sans nom,
Nous nous reconnaîtrons...
C’est lorsque seront éclos Lorsque seront éclos
Tous les actes de ces mots, Les actes de ces mots,
Qu’enfin en l’Univers Lorsque en cet Univers
Se propulsera l'Ere : Se propulsera l'Ere :
D’un courant de "perceptions", L’Ere des "perceptions",
Où nos Sens en "mutation" Nos Sens en "mutation"
Situeront l'Infini... Situeront l'Infini...
L'Existence en la Vie... L'Existence en la Vie...
(ad libitum)
Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL
Pour écouter la chanson écrite par Jean-Claude Pantel "INTROSPECTION" extraite de la première saison du Voyageur de l'Orage (En attente de la maquette du clip vidéo bientôt en ligne) :
INTROSPECTION
Si s'immiscent mes flots de passion passagère
Au cœur du brouhaha, en nos vies agitées,
Si pernicieusement car trop à la légère,
Je tente effrontément de vous contaminer,
N'en prenez pas ombrage, bien qu'il faille reconnaître
Que mes propos, souvent, voilent votre quiétude,
Quand délibérément, j'ôte de vos fenêtres
La buée que transpirent nos mornes habitudes.
Pourtant, nous voguons tous à bord du même rêve,
Compagnons de "voyage" qui grincez de mes dires,
Sous vos cils mêmes larmes, en vos corps même sève,
Rien ne ressemble mieux au Meilleur que le Pire !
Mon désir est semblable à l'envie qui est vôtre,
Je suis votre complice lorsque vous condamnez,
J'appartiens au troupeau qui se vend et se vautre
Dans la boue, que lucide, l'inconscience a semée. (2)
Alors, me direz-vous, il faut cesser de geindre,
Remuant de la sorte la lame dans la plaie !
Rien n'est moins nécessaire, aujourd'hui que de plaindre
Ce qu'hier, sans pitié, nous avons immolé !
Certes, vous répondrai-je, mais voilà l'impatience
Se fait "muse" parfois et invite un refrain
A venir inciter l'insidieux "silence"
A nous parler de "nous", un miroir à la main...
Alors, à deux battants, je déchire la brèche,
Le courant de ma plume emporte "la chanson"
Qui démembre vingt siècles et s'en vient dans la Crèche
Sacraliser la Foi sans divinisation...
Et là, je laisse cours à ces mots qui s'envolent,
A ces objurgations qui font notre "procès",
Je révèle, c'est vrai, sous un flot de paroles,
Ce qu'en for intérieur, bien souvent vous pensez. (2)
Et sonne le tocsin, réveillant les mémoires !
Quand l'Océan se meurt en enfantant mort-nés
Ces poissons, qui jadis, symbolisaient l'Espoir,
Lorsque je le veux taire, c'est vous qui le criez !
Alors, je vous rejoins encore cette fois,
L'exaltation m'égare, suis-je donc insatiable
De vouloir, à ma bouche, entendre votre voix
Et de croire, à mon heure, midi à votre table !
Pandore ouvrit sa boîte à l'aube d'Autrefois,
Insolent ! Puis-je entendre, "il est" ce qui doit être !
Me pardonnerez-vous, Amour de l'Ici-Bas,
Me sachant maladroit... de brandir votre Sceptre ?
Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL
Pour écouter la chanson écrite par Jean-Claude Pantel "DEVENONS" extraite de la première et la deuxième saison du Voyageur de l'Orage (En attente de la maquette du clip vidéo bientôt en ligne) :
DEVENONS !
Du fait de tant d'espoirs, voués au pilori,
Elle s'en vient l'Histoire, demander un sursis :
Une trêve, le temps de bien cerner enfin
Le "pourquoi", le "comment" du début d'une fin.
En marge des fléaux qu'on dit à notre porte,
Au nom des idéaux que la Morale apporte,
Si la Planète Terre doit, une fois de plus,
Endosser la colère de quelque Dieu déchu...
Devenons les Titans de l'Amour ! Et en chœur,
Débusquons de l'instant ce qu'est "l'ordre intérieur",
Irradiés du Cosmos par la même Lumière :
Celle de la symbiose qui régit l'Univers !
Pas de religion pour canaliser la Foi,
De politique pour cadencer notre pas,
Pour vivre sans entrain sans désenchantement,
La Mort du "quotidien" : dérisoire bilan !
Sans doute que lassés de nous sentir sereins,
Les démons du Passé passeront leur chemin,
Négociant par ailleurs leur triste destinée,
Laissant à d'autres fleurs le soin de s'exhaler...
Et tous nos faux besoins, insatiables envies,
Connaîtront le déclin, en le corps de l'oubli,
Et petit à petit, l'ennui, cédant le pas,
Se verra interdit de séjour ici-bas !
Et se reconstruira, ainsi à notre insu,
Ce que fut autrefois, ce qui fut le début,
Ce qui a précédé ce qu'aujourd'hui nous sommes :
Espèce inachevée que l'on appelle l'Homme !
Au terme de la mue, de la métamorphose,
En la forme et le but du bon ordre des choses,
Le verbe "être", après trop de temps limitatifs,
Se conjuguera au Présent Définitif !
Et quand bien même si, se prolongent encore,
Par une antinomie, les méandres du sort
Qui nous est dévolu depuis des millénaires,
Nous aurons convaincu, par-delà nos frontières,
Une force plus forte que "l'acte" ou le "langage" :
Un courant qui exhorte, depuis l'Age des âges,
Ce renouveau transi, refrain de l'Absolu,
Que nos voix aujourd'hui cristallisent aux nues !
(terminer par les refrains)
Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL