"SYMPHONIE A SOFANA" (VOYAGEUR DE L'ORAGE) suivie du poème "L'ODE A SOPHIE"

"SYMPHONIE A SOFANA"

"SYMPHONIE A SOFANA" est une musique de fond qui revient de façon récurrente dans Le VOYAGEUR DE L'ORAGE.

Pour l'écouter, cliquez ci-dessous :

"L'ODE A SOPHIE" par Jean-Claude Pantel

Poème écrit et lu par Jean-Claude Pantel  : "L'ODE A SOPHIE" sur fond de musique "SYMPHONIE A SOFANA". 

"L'ODE A SOPHIE" est un poème , écrit et lu par Jean-Claude Pantel, se voulant un hymne de remerciement composé en l'honneur de cette jeune fille qui inspira jadis à l'auteur le personnage de Sofana pour son " VOYAGEUR DE L'ORAGE".

Ajoutons que ce panégyrique ne fait pas partie du Voyageur de l'Orage.

Une anecdote résume bien « l’Ode à Sophie » composée par Jean-Claude Pantel.

Un jour où Jean-Claude désirait écrire un hymne poétique pour remercier une jeune fille alsacienne dont la profession est infirmière, une certaine Sophie, de lui avoir inspiré, quelques années auparavant, le personnage de Sofana pour sa comédie musicale « Le Voyageur de l’Orage », l’Entité Zilder fit alors aussitôt apparaître sur l’écran d’un poste de télévision cette énigmatique grille :

O


C
Q
L
D
S
C
L
O
A
E
A
O
C
E
C
A
T
C
M
C
L
T 
L
I
E
S
C
Q
D

Et de rajouter : « Voila les premières lettres introduisant chacun des vers du futur poème consacré à votre ami Sophie… »

Puis, avant de repartir, Zilder conclut son propos en affirmant que Jean-Claude saura relever le défi et aisément l’emporter.

Sans réfléchir, Jean-Claude prit son stylo et compléta la grille en écrivant d’un seul jet :



                     ODE A SOPHIE



Ce fut un jour de Juin, avant-veille d'été,
Que la Vie t'accueillit chez ceux qui t'attendaient ;
Le temps passa dès lors, prenant soin en passant
De faire qu'aujourd'hui tu demeures une enfant.
Sans doute avait-il su, à ton premier chevet,
Confier ce dessein à quelque douce fée,
Laquelle fit qu'en tes yeux, étoiles du visage,
On puisse lire l'Amour et suivre son sillage,
Ajoutant à ce don qu'un bourgeon d'espérance
Eclose pour chacun côtoyant ta présence,
Afin qu'aillent à dire ceux qui sauraient te vivre :
- On a vu "l'irréel" dont font rêver les livres,
Ce rêve habite un corps qui danse telle une flamme
Et la flamme est "lumière" émanant de son âme...
-C'est la raison, je pense, qui suscita leur peur
A ceux qui, héritant d'un tison de ton cœur,
T'abandonnèrent là, car l'homme est ainsi fait :
Cherchant la Vérité, il fuit ce qui est vrai !
Malgré ce, tu demeures attentive et tu aimes,
Comme si ton prochain était autre toi-même,
Le tourment que fréquente ta "profession de foi",
Ta dignité le tait, quand il s'abat sur toi.
Là, mon verbe s'essouffle pour bien te raconter :
II va ainsi des choses qu'on ne peut exprimer.
Laissons donc le silence envelopper les mots,
Extraire, pour nos sens, le sublime du beau.
Si ton humilité s'en venait à honnir
Ce qu'énonce ma plume, pouvais-je m'interdire,
Quand mille et un prénoms fleurissent en refrains,
De t'ériger, Sophie, sur ces alexandrins ?

Paroles de Jean-Claude Pantel (?).

Comprenne qui pourra, moi je ne cherche même plus...