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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 10:01

 

 

La chanson de Jean Claude Pantel « BONHOMME DE SABLE, CHÂTEAU DE NEIGE » ne fut pas retenue pour le VDO. Qu’importe. Cela ne nous empêchera point de la promouvoir en ce jour aux lecteurs de vdo-jantel.over-blog.com.

 

 

BONHOMME DE SABLE, CHÂTEAU DE NEIGE... 

 

 

Bonhomme de sable, château de neige,

Près de moi restent pris au piège,

Entre quatre murs d'une chambre

Pendue à un coin de ciel gris,

Octobre se donne à novembre,

Paris se rhabille de pluie...

 

Bonhomme de sable, château de neige,

Tissent décor et font cortège

A quelques printemps d'insouciance,

De doux matins d'adolescence,

Ce vague à l'âme qui relance

Tant de souvenirs en partance...

 

 

                        En partance pour un bel été

                        Que mes yeux clos voyaient danser,

                        Au fil des bateaux qui rentraient

                        A Napoli, le soir tombé...

 

                        En partance pour ces rêves fous

                        Que j'accompagnais à Corfou,

                        Vivre au cœur des "jardins flottants"

                        Une Odyssée d'un autre temps...

 

                        En partance pour ces pentes blanches

                        Où chaque sapin, à ses branches,

                        Au soir de Noël accrochait

                        Mille promesses, mille souhaits...

 

 

Bonhomme de sable, château de neige,

Tournent toujours sur le manège,

Le manège de ma mémoire

Qui virevolte ces histoires

Qui s'envolaient, l'aube venue,

Que d'autres pour moi ont vécues...

 

Bonhomme de sable, château de neige,

Avec moi restent pris au piège

Des quatre murs nus d'une chambre

Pendue à un coin de ciel gris,

Octobre s'est donné à novembre,

Paris s'est rhabillée de pluie...

 

 

Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL


 

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 09:53

 

 

"DEMAIN" est une chanson écrite par Jean-Claude Pantel. Est-ce que le fait de n'avoir pas été sélectionnée pour figurer dans le "VDO" , voire dans "SOFANA (?)", nous interdit pour autant de la promouvoir en ce jour ?     

                       

 

                               DEMAIN

 

 

Un plafond tout de gris, quelques larmes d'hiver

Et l'automne s'enfuit, frimas sur les paupières,

C'est une giboulée qui agace ma vitre

Et décembre, affolé, voit la neige qui hésite,

Demain sera plus près du "messie" : le Printemps

Et chaque jour qui naît, du froid compte l'instant.

 

            Demain, encore demain, oui mais demain de moins à vivre,

            Comme au jardin, sur le rosier, pleure le givre,

            Les heures vont et à leurs côtés tout emportent

            Et le dégel engloutira la saison morte...

 

Un nuage tout de blanc, perdu sur un fond bleu,

Et dessous des enfants grelottant sous le feu :

C'est qu'entre ciel et terre, la raison dans les nues,

Au nom d'une bannière, leurs pères s'entretuent...

Mais demain saura bien retrouver la colombe,

Lui tracer son chemin entre mitraille et bombe...

 

            Demain, oh oui demain ! Fais que violence cède son règne !

            Folle supplique, espoir d'un aujourd'hui qui saigne,

            Assure-toi, avant d'entamer ton voyage,

            Que tu emportes Amour et Paix dans tes bagages !

 

Un été qui s'éprend d'un couple du "passé" :

En "noces de diamant", il s'en vient le fêter...

Eux cheminent dans l'âge et la dernière escale

Fleurit sur le rivage, près de leur bonne étoile,

La nôtre saura-t-elle nous guider aussi loin ?

Saura-t-il notre ciel attendre encore demain ?

 

            Demain, c'est vrai demain, j'aimerais encore te connaître

            Et te voir poindre, en jour nouveau, à ma fenêtre,

            Et tant pis si, avec toi jeunesse s'éclipse,

            On nous parle tant en ces jours ..."d'apocalypse"...

 

 

Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL


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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 09:42

 

 

« MA MEMOIRE » est une chanson de Jean-Claude Pantel qui ne fait pas partie du « VDO », ni de sa suite éventuelle « SOFANA ».

 

 

 

 

MA MEMOIRE 

 

 

 

Elle abrite un passé meublé de souvenirs,

Elle comble le fossé séparant l'avenir

De ce temps dont elle sait me raconter l'histoire,

Que sans elle j'oublierais sans m'en apercevoir...

C'est elle qui toujours, lorsque je suis tout seul,

Soulève de mes jours cet immense linceul

Recouvrant le décor de l'âge d'innocence,

Je n'entends plus alors ce que dit le silence...

 

 

                        Ma mémoire ! Le recueil de ma vie,

                        Ma mémoire ! Toi qui fais que j'oublie

                        Que je te dois d'avoir tant de belles images

                        Illustrant mes espoirs, mes doutes en chaque page...

 

 

Les chapitres se suivent, je feuillette sans hâte,

Tant de choses survivent, se lèvent et s'ébattent

Là au fil de ces notes qui coulent sur ma voix

Et qu'aujourd'hui nous ôte, pour construire autrefois :

Je revois la maison, là-même où j'ai grandi,

Les plus belles saisons qui n'eurent de répit

Que le jour où soudain s'échoua le voyage,

Caprice du destin, sur de nouveaux rivages.

 

 

                        Ma mémoire ! Solfions de concert,

                        Ma mémoire ! Tout ce qui fut hier :

                        D'illusions en regrets, surtout n'omettons rien,

                        N'est-ce d'avoir été qu'un beau jour l'on devient ?

 

 

Et le futur s'empare de ce que nous chantons,

Quai de port ou de gare, le bonheur en flocons

Se saisit de (*) dès lors et bâtit ses châteaux,

Que t'incombe le tort, mon premier piano,

D'avoir au fil des heures qui habillent l'enfance,

Fait sourdre la douleur d'où jaillit l'existence,

Toi qui sus éveiller ce qui m'a fait quitter

Ce "nid" où tant de rêves restaient à partager.

 

 

                        Ma mémoire ! Cathédrale d'amour,

                        Où ce soir, je me réfugie pour

                        A tes orgues épancher, sans nulle contrition,

                        Ce qui fut, ce qui est et reste "ta" chanson !..

 

 

Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL

 

 

(*) Problème avec ce vers : Ne serait-ce pas plutôt "Se saisit d'eux dès lors"...?


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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 09:43

 

La chanson "La Genèse Polynésienne", d'après le poème du même nom écrit par Leconte de Lisle (Les Poèmes Barbares), pourrait figurer parmi la saison 2 de la comédie musicale "Sofana"...A vous de juger.

 

 

VDO.Genèse Polynésienne

 

 

NB : Le distique original de fin a été modifié par Jean-Claude Pantel pour éviter un narcissisme de l'Être qui n'a pas lieu... d'être.

 

Celui-ci était au départ sous la plume du poète :

 

 

"L'univers est parfait du sommet à la base,
Et devant son travail le Dieu reste en extase."

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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 11:34

 

« Ô SOLIDARITE ! » est une chanson écrite par Jean-Claude Pantel pendant la période dite de la guerre froide. Quelques corrections ne pourraient-elles pas la rendre plus d’actualité en l’insérant par là-même dans « SOFANA » ?

 

 

                         Ô SOLIDARITE !

 

 

Parlé : Espérance, soufflet de l'âtre où se consument

Nos rêves de bonheur entre braises et cendres,

Espérance, je t'en prie de ton souffle rallume

La flamme, en cette époque où il gèle à pierre fendre.

 

Manu Militari, l'hiver s'est installé

Investissant l'automne où subsistait la Rose,

Que l'été du printemps avait su conserver,

Qui de l'iniquité semblait marquer la pause.

 

Et voilà que Décembre établit ses quartiers,

Avec en sus un zèle que nous ne lui savions,

Varsovie à sa porte laisse la Liberté

Qui, debout sur le seuil, entonne la chanson…

 

Ô Solidarité, fille mère en « errance »,

A qui l'homme ne semble tellement pressé

De t'accorder le droit d'enfanter cette chance

Que tu portes en ton sein, sous nom d'Egalité...

 

Ô Solidarité t'es-tu trompée de terre ?

La Pologne est-ell' bien l'étable où accoucher

De cette joie de vivre qui d'états en frontières,

Au fil de l'existence, fut toujours crucifiée. (2)

 

Par ailleurs, on se rit en vantant la faillite

Du régime qui ressemble à s'y méprendre

A celui même auquel souscrivent hypocrites,

Les moqueurs qui racontent à qui les veut entendre

 

Que le Socialisme a visage de mort,

Et l'écho du clergé est là comme routine,

A qui veut-on faire croire que meilleur est le sort

De nos frères chrétiens d'Amérique Latine ?

 

2 Fois :

 

(    Ô Solidarité, le Monde fait naufrage,

(    Vois que d'Est en Ouest pour nous mieux diviser

(    L'on a fait en nos noms un fort joli partage

(    Pour la prochaine guerre, pour la prochaine paix


2 Fois :

 

(   Ô Solidarité, de la terre de France,

(   Ma voix revient à toi répondre en ce refrain

(   Qu'ici-bas accéder à notre « indépendance »

(   Passe par tes couleurs, passe par ton chemin... 2 x la deuxième fois

 

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 09:01

 

La page de la passion amoureuse, très vite tournée, offrira aux compagnons d’odyssée de Sofana l'occasion de passer très rapidement à des valeurs beaucoup plus nobles que celle véhiculées par notre notion d’amour totalement erronée.

 

                 

                   COMBIEN

 

 

Combien ont pu changer tes lettres à présent !

Combien il paraît nu, ce papier dans mes mains,

Dévêtu de ces mots, ces mots insignifiants

Mais qui savaient mener chaque jour à demain !..

 

 

                        Sans doute ai-je bien tort de te le reprocher

                        Ce manque de tendresse qui attise ma peine !

                        Il me reste, c'est vrai, l'illusion d'espérer

                        Que tes remords nous tressent à nouveau d'autres "chaînes".

 

 

Combien ils ont changé ces matins de printemps !

Combien se sont fanées ces fleurs, qui souviens-t-en,

Disaient à la rosée, sous des papillons blancs,

Que nous réincarnions, toi Iseut, moi Tristan...

 

 

                        Sans doute ai-je bien tort de vouloir, à tout prix,

                        Comparer sans arrêt, et toujours et encore,

                        Le Présent, le Passé, hier et aujourd'hui,

                        L'avenir n'étant plus qu'un souvenir, dès lors !

 

 

Combien elles vont changer ces heures que je vais vivre !

A quel écho m'en vais-je vouer mon "chant d'amour" ?

Que sera monotone la route que je vais suivre !

Qui sait à quel mirage s'hallucineront mes jours...

 

 

                        Sans doute, ai-je bien tort de me laisser aller !

                        Une "voile" s'en vient déjà pour m'emporter...

                        Mais mon mal me dévore, succombant aux regrets :

                        Je reste sur le "port" et oublie... d'oublier !

                        Je reste sur le "port" et oublie... d'oublier !

 

 

Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL


 

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 09:16

 

Ce pourrait-il que l’amoureux transi, encouragé dans sa démarche passionnelle par « Sonafa », déclame sa flamme à l’élue de son cœur en lui chantant « EN LE SILENCE » ?


 

                            EN LE SILENCE

 

 

                                   En le silence,

                                   De quelque idée

                                   D'une pensée

                                   A rassembler

                                   Sur le papier,

                                   A peine éclos,

                                   S'en vient le mot.

 

 Le voilà qui hésite, le voilà qui crépite et qui pose

 Sous son encre indiscrète, l'image par le geste qui ose

 Devenir la phrase

 Qui soudain s'embrase

 En un poème, en un poème...

 

                                   En le silence,

                                   De quelque rêve,

                                   De quelque sève

                                   Fécondée,

                                   Sur la portée,

                                   Derrière la clef,

                                   La note naît.

 

 Elle est noire, elle est blanche, c'est elle qui enclenche la chance,

 Laquelle sans anicroche, et en ronde et en croche, sera danse,

 Berçant le futur,

 De par la mesure,

 En la musique, en la musique...

 

                                   En le silence,

                                   Il se déclame,

                                   Elle l'enflamme

                                   Dessus la gamme,

                                   Ils caracolent

                                   Dièses, bémols,

                                   En rimes folles.

 

 Il était le quatrain, le voici en refrain qui se chante,

 Elle se fait couplet, s'accouplant au sonnet qui invente

 En la mélodie,

 Page de la vie,

 Cette chanson-là,

 Faite pour toi

 D'Amour !...

 

 

Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL


 

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8 novembre 2010 1 08 /11 /novembre /2010 09:15

 

 

Une histoire « d’amour » pourrait bien s’illustrer dans la comédie musicale « SOFANA » (Chose qui n’a pas eu lieu dans « LE VOYAGEUR DE L’ORAGE » et pour cause), quand bien même nous verrons très vite, par une des chansons suivantes, qu’elle n’ira pas bien loin.

 

 

LES FEMMES QUI PASSENT PAR TA VIE

 

 

Les femmes qui passent par ta vie

Ne s'y attardent qu'un moment,

L'ombre d'un cri, l'ombre d'un fruit

Vite croqué à belles dents...

Tomber du jour, soleil levant,

Tes amours vont au gré du vent

Qui les conduit, qui les reprend

D'étés, d'automnes en printemps. (2)

 

 

            Et tangue le voyage où vogue l'inconstance,

            Qui vient de ses virgules ponctuer ton présent,

            Abandonnant ton âge en proie à l'insouciance,

            Tu vis en funambule sur le fil du temps...

 

 

Les femmes qui traversent ta vie,

En-deça de leurs sentiments,

Cherchent en toi la garantie

Qui te fait défaut pour l'instant...

Comme il n'est rien dans tes couplets

Qui fasse foi de tes lendemains,

Dans la crainte de s'égarer,

A d'autres, elles confient leur destin. (2)

 

 

            Si des regrets s'éveillent parfois sur tes lèvres,

            Ils ne durent jamais bien longtemps, il est vrai,

            Tel le givre au soleil leur existence est brève

            Comme lui, en volutes, ils gagnent les nuées...

 

 

Une femme entrera dans ta vie

Un jour on ne sait pas bien quand

Et si n'est point l'heure des "folies"

Pour toi, il arrive cependant

Sous le ciel bleu, sous le ciel gris,

Que tu la guettes sur le cadran

De ton ennui, de tes envies,

Et tu l'inventes en la chantant...

Et tu l'inventes en la chantant...

Et tu l'invites ...et tu l'attends.

 

 

Paroles et Musique  :  Jean-Claude PANTEL

 

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7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 10:12

 

 

La Chanson de Jean-Claude Pantel « IL Y A DES CHANSONS SUR LA ROUTE »  pourrait bien improviser une sorte de « petit hymne à la joie » chantonné par le groupe d’amis entourant l’héroïne « SOFANA », suite du VDO.

 

 

IL Y A DES CHANSONS SUR LA ROUTE

 

 

La saison touchait à sa fin,

Ce jour-là ne se prêtait pas trop

A ce qu'un "air" en chemin

Fît écho...

Mais d'un bouquet d'arbres en fête,

Tomba aux pieds d'un poète,

En trilles épars, le chant d'un oiseau !

 

La magie du verbe, aussitôt,

A toutes ces notes qui s'égrenaient,

Juxtaposa quelques mots

Qui rimaient !

Et voilà pourquoi septembre,

Avant de gagner la chambre,

Reprit ce refrain d'un ton guilleret :

 

                                   Il y a des chansons sur la route,

                                   Offertes aux "Quatre Vents de l'Esprit" !

                                   Hymnes de l'Espérance, Requiems de nos doutes,

                                   Chantons-les pour que danse la Vie !

 

C'était à l'heure où tout craquèle

Et l'Hiver s'en venait amnistier

L'onde sous forme de dégel

Avancé !

Cascades à flanc de falaise,

Torrents en bémol, en dièse,

Lancèrent cette mélodie qui disait :

 

                                   Il y a des chansons sur la route,

                                   Offertes aux "Quatre Vents de l'Esprit" !

                                   Hymnes de l'Espérance, Requiems de nos doutes,

                                   Chantons-les pour que danse la Vie !

 

Aussi, quand tout te fait la moue,

Qu'un vague à l'âme te fait tanguer,

Venant noyer, sous le remous,

Tes projets !

Sur le roulis du "voyage",

Invite le vent du large !

Il saura bien t'inspirer son couplet :

 

                                   Il y a des chansons sur la route,

                                   Offertes aux "Quatre Vents de l'Esprit" !

                                   Hymnes de l'Espérance, Requiems de nos doutes,

                                   Chantons-les pour que danse la Vie !

 

 

Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL


 

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6 novembre 2010 6 06 /11 /novembre /2010 08:52

 

La Chanson de Jean-Claude Pantel « Enfants de Mai 68 »  pourrait bien servir d’ouverture au deuxième volet de « SOFANA », sorte de continuation au « VOYAGEUR DE L’ORAGE »

 

 

 

ENFANTS DE MAI 68

 

        

Frères de cœur de mon âge,

Fruits d’une époque transitoire

En qui le doute, sans partage,

Supplante ce qu’il faut croire,

Militants de ce vieux rêve,

Rêve étoilant le chemin,

Qu’une existence trop brève

Remet toujours à demain...

           

 

                        Dieu ! Que les choses vont vite,

                        Que l’on s’en défie ou point,

                        Enfants de mai 68,

                        Ce fut hier que soudain

                        Une prise de conscience,

                        Sans qu’elle fût connivence,

                        Nous échut, nous émut

                        Et s’en fut par les rues...

 

 

Pris entre ce mal de vivre :

Notre notion du «bonheur»

Et l’illusion que délivre

Notre quotidien menteur,

Ne sommes-nous pas semblables

A ce que l’on condamnait ?

Comme tout est périssable

En ce qu’on veut «structurer» !..

 

 

                        Que combattent aujourd’hui,

                        Avant d’entrer dans le rang,

                        Vos enfants qu’on initie

                        A devenir des parents

                        Qui donneront à leur tour

                        Un demi-siècle d’amour,

                        Exaltés, révoltés,

                        Isolés, résignés...

 

 

Frères de coeur ou apôtres

De la même dimension,

Aux «avatars» qui sont nôtres

Reste liée la question

De mes deux refrains à boire,

Par la nostalgie versés,

Dans «le calice de l’Histoire»

A jamais réinventée...

 

 

                        Enfants de mai 68,

                        D’Aujourd’hui et de Demain,

                        Dessus «l’échiquier cosmique»

                        Où se joue notre destin,

                        «L’imprévisible», sans cesse,

                        Manipule chaque pièce

                        Et se rit de qui croit

                        Que la vie est un choix... (ad lib)

           

 

Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL

 

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